mercredi 30 juillet 2008

Petit break en Vendée : sea, sun and… sun

Aaaah, la Vendée ! Ses champs à perte de vue, ses vaches, ses marais, ses routes sinueuses, ses campings, son Puy du Fou, sa brioche, son jambon et son littoral …
Sa côte, si sauvage, faite d’interminables dunes en lisière de ses forêts domaniales, véritables pinèdes qui accueillent en leur sein, généreusement quelques acacias et chênes verts… ses plages de sable fin, ses galets, ses falaises et puis soudain émerge un petit bout d’urbain, un clocher, souvent roman, une place, quelques bourgades qui prennent vie à l’arrivée des beaux jours et des touristes qui les accompagnent, et redeviennent silencieuses et paisibles quand vient l’automne…
Je suis rentrée avant-hier soir d’un court séjour en Vendée, j’y ai rejoint mes grands-parents, dans leur maison, et l’espace de ces quelques jours, loin de tous les tracas du quotidien (ou presque, certaines pensées ne vous quittent pas) j’ai laissé mes souvenirs de petites filles s’emparer à nouveau de ma personne et mon esprit vagabonder…
Je connais la terre vendéenne depuis ma plus tendre enfance, lieu de villégiature par excellence depuis la construction de mes grands-parents, j’ai passé des étés entiers en ce lieu qu’est Saint-Vincent-sur-Jard.
Cela ne vous dit peut-être rien, pourtant ce village héberge la demeure d’un homme illustre : Georges Clémenceau.
Je me plais souvent à imaginer qu’il a foulé de ses pas certains des chemins qu’il m’arrive d’emprunter, qu’il a contemplé cette nature forestière et maritime, scruté l’horizon, et que peut-être ce fut, pour lui, source de belles inspirations, à l’instar de ces brillants discours comme son harangue anticolonialiste lors de la démission du gouvernement Ferry, témoignage d’un homme en avance sur son temps, visionnaire, et avec qui les valeurs de la République, résumées dans notre devise prenaient tout leur sens.
Puis j’essaye de m’imprégner de cet air, doucement iodé et frais, à qui il attribue sa force de caractère, sa combativité, son courage, qui sont autant de qualités lorsqu’il alla rendre visite aux poilus dans les tranchées, pour remotiver les troupes !
Je me suis dit un instant que c’est avec cette force que je veux affronter Paris les prochains jours puis les prochains mois.
En attendant la frénésie parisienne, c’est à la plage que je vaquais à quelques occupations, farniente et lectures savoureuses…
Je ne résiste jamais à l’envie de caresser le sable chaud, de le prendre à pleine main avant de le laisser s’échapper entre mes doigts, comme on laisserait filer ses soucis, ce geste apaisant, je l’accomplissais petite et le reproduit aujourd’hui avec un ravissement intact.
Installée sur ma serviette, j’observe la population avec gourmandise, les familles et leurs petits bouts qui bâtissent leur premier château de sable ou effectue leur premier bain de mer devant l’œil admiratif des parents, les jeunes adolescents affranchis de l’autorité parentale le temps d’une après-midi et qui exultent, les solitaires à la recherche du coin tranquille le plus reculé qui soit, les « chasseurs » de coquillages, les regards échangés, les rencontres estivales, etc. Ce microcosme vacancier, décomplexé mérite généralement qu’on s’y attarde.
Mais, la plage, ma belle plage, c’est le soir, déserte que je l’aime le plus.
A la tombée de la nuit, lorsque le sable est devenu froid, que le bruit du doux ressac se fait majestueux à mes oreilles, que je ferme les yeux pour mieux en mesurer les vertus, sentir le vent léger et salé sur mon visage et les embruns, et que mon odorat se régale du parfum iodées de la grande bleue… cette quiétude qui m’envahit à ce moment là a peu d’égal, bien qu’elle prenne une dimension supérieure lorsqu’elle est partagée, alors, rien ne semble pouvoir venir la troubler si ce n’est le cris de quelques mouettes non effarouchées…
La plage, calme, paraît plongée dans un sommeil douillet, repos bien mérité après les tumultes de la journée passée et face à ceux qui l’attendent demain.
J’aime aussi me balader dans la forêt, sur les falaises de la pointe du Payré et aux Sables d’Olonne.
Cité enchanteresse où j’apprécie tant flâner et m’installer sur le muret qui borde la promenade, face à la mer, non loin de l’horloge, déguster l’une de ces gaufres à la chantilly, à laquelle la magie du lieu et de l’instant offre toujours un goût exceptionnel, quelque soit la saison d’ailleurs. J’y contemple souvent les maisons, prestigieux vestige de la grande épopée des loisirs balnéaires qui marquèrent les années 20-30, où les femmes découvraient les joies de la baignade affublée des premiers maillots de bain, sous l’œil charmé ou décontenancé de ces messieurs. Ces images célèbres, inspirées par les affiches de l’époque ventant les bienfaits d’un séjour à la mer, prennent vie parfois dans ma tête où j’imagine les fantômes de ces personnages, haut en couleur, animer à nouveau la ville, la plage et ces célèbres cabines.
Puis, j’arpente les ruelles, pour y découvrir de petits ateliers où des artistes exposent leurs œuvres, je longe le port et regarde s’éloigner ou rentrer les voiliers et petits chalutiers, suivis par des hordes de mouettes affamées et opportunistes. Et les soirs d’été, la ville prend des allures de festival, avec des groupes de musiques qui attirent et font danser les foules. Après m’être repue d’une délectable assiette de langoustines tout juste accompagnées d’une onctueuse mayonnaise, prise au Bistrot du Port… je prends plaisir à me mêler à cette foule, me laisser emporter par elle, « qui s’élance, et qui danse une folle farandole (…) » comme aurait dit Édith Piaf…moi c’est simplement pour en capter les énergies positives et l’allégresse, je ne danse pas… enfin rarement…
Ce séjour a été court mais au demeurant plaisant et reposant.
Je ponctue ce billet alors que je suis dans le train en partance pour Paris Austerlitz, la dure tâche de dénicher un logement, décent, m’incombe à présent…

Bien à vous tous, et bonnes vacances à ceux qui le sont.

Alexandra.

lundi 21 juillet 2008

Insolite à Luynes...

Alors que le tour de France bat son plein, Luynes, bien qu’aux antipodes de l’Alpe d’Huez question relief, semble vouloir vibrer à son rythme…
Un aménagement de rond-point a donc été spécialement réalisé pour l’occasion !
Admirez le chef d’œuvre !





Malheureusement (ou heureusement d’ailleurs), il n’est plus visible aujourd’hui…
Ce magnifique vélo d’appartement (dernière génération) symbolisait probablement l’entrainement acharné accompli par les athlètes du « deux roues » avant le début de la compétition. Entrainement que tout le monde reconnaît, sans aucun scepticisme, comme étant la seule explication aux performances effectuées par les coureurs ! Quelle allégorie de la beauté du sport et du mérite !

Bien à vous,

Alexandra

jeudi 17 juillet 2008

Un ravissant 13 juillet…

Je pressens que ce petit billet ne sera pas pour déplaire à la nouvelle équipe municipale…
A tous ceux qui pensent que j’ai la critique facile, « la dent dure », que mon objectivité se trouve souvent entachée par ma « jeunesse », mon « manque d’expériences » et ma « naïveté » et que sur mon impartialité plane l’ombre de mes convictions politiques… Je leur dis : « lisez la suite, cet article est bien la preuve du contraire ! »
Ne faites pas les étonnés… Je l’avais déjà annoncé, toute bonne initiative (« bonne » étant pour le coup subjectif, puisque chacun apprécie à sa façon), donc bonne à mes yeux (mais je sais que je ne suis pas la seule à le penser), se verra recevoir quelques compliments sur ce blog !
C’est aujourd’hui le cas !
Et puis sachez que derrière la fille caustique se cache en vérité une âme douce et rêveuse (comment ? Je me lance des fleurs ? Oui… tout à fait… une fois de temps en temps ça ne fait pas de mal, vous devriez essayer !!!)
Si je n’ai pu assister au feu de la Saint-Jean pour cause de fête de la musique, je ne voulais pas louper le feu d’artifice du 13 juillet à Luynes… en revanche, je n’ai pas suivi la retraite aux flambeaux, je m’en excuse…
En marchant le long de la promenade des Varennes, titillée par quelques moustiques affamés, mais bercée par le coassement des grenouilles et songeuse devant ce ciel étoilé, je me remémorais que toute petite j’empruntais déjà ce chemin, accompagnée de mes parents et de mon frère, avec l’âge la peur laissa place à l’excitation…qui s’emparait de moi à l’approche du « champ de tir »…
Le feu d’artifice devînt alors un moment fabuleux, d’émerveillement, et si aujourd’hui le ressenti est un peu différent, je ne m’en régale pas moins et aime observer cette même magie dans le regard des enfants.
Il faut dire que notre feu d’artifice était particulièrement réussi. Je salue ici le travail d’A-C Garcia et de la société Pyro-concept qui ont organisé avec brio l’évènement.
Car loin d’être un « petit feu d’artifice de campagne », « sans grand intérêt », comme certains se plaisent à penser, ceux-là même qui ne sont jamais venus le regarder et dont les railleries, injustifiées, mais devant lesquelles je ne m’offusque plus et qui même, me font sourire, viennent encore parfois raisonner à mes oreilles… Non, je le dis, ce feu d’artifice était beau, surtout à l’échelle d’une commune comme Luynes.
Il était composé de fusées variées dans leurs formes comme dans leurs couleurs, allant crescendo au son harmonieux de musiques classiques de films, à mon grand bonheur, puisque c’est un genre musical que j’affectionne tout particulièrement.
Cela ne donnait que plus d’intensité…
Nous avons bien sûr eu l’éternelle association patriotique, bleu, blanc, rouge, que je vous laisse admirer !





Je me suis prise à imaginer un instant, et avec un certain amusement, voir une succession de lettres former le nom de notre maire, l’histoire de fêter une fois de plus la victoire électorale…
Notre maire ne fit qu’un bref discours pour annoncer le lancement du feu, et lorsque celui-ci fût terminé il invita la population à se retrouver sous les Halles pour le bal !
Le cortège suivit la fanfare qui comptait à nouveau un membre de plus. Bertrand Ritouret reprit pour l’occasion du service, en tant que trompettiste… cela devait démanger notre « Chet Baker » local (oui voyez, il m’arrive d’être généreuse en compliments parfois…) !



En arrivant sur place, une jolie surprise nous attendait… une décoration sobre et originale avait été installée, faite d’un drapé rouge, remonté de cocardes tricolores, et assorties aux compositions florales, ce qui, il faut bien l’admettre, offrait un certain cachet à nos Halles et à l’évènement.



L’animateur lança la musique et la fête battît son plein jusque tôt le lendemain matin…

Je ponctue ce billet, alors que je rentre du feu d’artifice de Tours et j’en profite pour féliciter la municipalité de Tours, Jean Germain et son équipe, qui une fois de plus ont su égayer comme il se doit le 14 juillet, ce fût magnifique, grandiose, éblouissant !

Merci,

Alexandra

(À suivre, bientôt, la cérémonie du 14 juillet à Luynes)

jeudi 10 juillet 2008

Compte-rendu is back!

Chers lectrices et lecteurs, Luynois ou d’ailleurs, venus d’autres contrées lointaines ou proches, je fais aujourd’hui mon retour dans l’univers périlleux du compte-rendu de Conseil municipal.
Oui, vous l’aurez tous remarqué, mes derniers messages n’avaient aucun trait à la politique locale et relevaient plus de mes états d’âme qu’autre chose…
Que voulez-vous, ma vie ne s’arrête pas à la fréquentation assidue des conseils municipaux… A ce propos, je tiens à vous informer qu’il me sera difficile de jouer mon rôle "d’envoyée spéciale" à partir de la rentrée prochaine… Je dois, pour une durée encore indéterminée, quitter ma belle province tourangelle pour la capitale, mon master1 en poche, je pars recevoir un « enseignement de communicante » dans une école parisienne…
Je sais que cette nouvelle va en réjouir un certain nombre, qui peut-être à la lecture de ces quelques lignes sont déjà partis à la cave et font sauter le bouchon de leur meilleur pétillant (Vouvray ou Montlouis, par pur chauvinisme…). J’entends déjà raisonner les « chic chic, elle va nous fiche la paix », mais ne vous y trompez pas, malgré mon absence physique, je resterai au fait de l’actualité de ma chère commune, et garderai un œil sur les évènements qui s’y dérouleront... en tachant bien sûr de revenir le plus possible… Tout cela va me manquer…
Rangeons les mouchoirs et rentrons à présent dans le vif du sujet !
Le 23 juin dernier avait lieu le sixième conseil municipal de la nouvelle municipalité…
17 points étaient à l’ordre du jour pour ce nouveau rendez-vous citoyen, les regards se croisaient et une certaine inquiétude se lisait en eux… 17 points ? Fichtre ! A quelle heure ça va se finir ? Telle était la question… Et ce début de conseil nous confortait dans cette interrogation.
Alors qu’étaient abordés les règlements intérieurs, l’assemblée d’observateurs ressentit comme un goût de travail bâclé… Etions-nous en commission ou en conseil municipal ?
Un long débat porta entre autre sur l’administration de médicaments à un enfant malade au sein de la halte garderie. On était dans le flou… et finalement, après de nombreuses et interminables minutes de discussion, plus ou moins stérile, il fut tout bonnement décidé de supprimer le paragraphe s’y référant et d’y revenir lors d’un prochain conseil…
A autre règlement intérieur, autre débat, il s’agit cette fois du conseil municipal. L’opposition pose ses questions, et non sans amusement, nous observons dans le clan majoritaire, chaque élu, dans un mouvement simultané (quasi chorégraphié), plonger dans leurs papiers, tête baissée, tel des élèves un peu décontenancés devant une colle de professeur, y farfouiller pour trouver la page correspondante et (re)lire l’article ou le paragraphe se rapportant à la question.
Soufflerait-il comme un vent de mauvaise préparation ?
C’est au tour du nouveau Tambour de Luynes de monopoliser le débat. Vincent Perrin (Luynes c’est vous) prend la parole pour faire une remarque somme toute pertinente à propos de l’éditorial. Il soulève un problème : La vocation première du tambour est rappelons-le, d’informer, de renseigner la population sur les activités se déroulant au sein de la commune, et sur les activités proposées par notre réseau associatif. Or, dans le dernier tambour, on nous mentionne la hausse de 8% accordée par la municipalité aux associations. Force est de constater que non seulement cette annonce n’a rien d’évènementiel… mais plus encore, elle prend des allures de « coup de pub » pour l’action de la nouvelle équipe…
Si cette augmentation est une bonne chose, je pense que le tambour n’est sans doute pas le vecteur le plus approprié pour ce type d’information… non ?
Je n’ai rien écrit sur le tambour… cela vous surprend ? N’allez pas croire que ce silence signifie que je n’ai rien à dire…
Si le format, l’éditorial et la qualité du papier ne sont pas forcément à mon goût (ce n’est qu'une appréciation personnelle), je lui reconnais quelques qualités : tout d’abord il rajeunit l’information, ensuite, les couleurs sont agréables et attractives, et enfin, le logo est élégant (et mon « moi » historien ne peut qu’estimer son histoire, sa symbolique… dont le « secret » m’a été révélé, que je tairais néanmoins pour laisser la nouvelle municipalité s’exprimer sur ces choix…).
J’ai reçu quelques confidences… notamment concernant le coût d’impression, qui serait selon les dires de B. Ritouret et de son équipe, moins élevé que ceux de l’ancienne formule… Admettons… mais je veux bien des chiffres pour venir corroborer ce scoop !
Pour en revenir rapidement à la qualité du papier, disons que l’utilisation d’un papier recyclé, dans un souci écologique, si cher à notre maire « trotinettophile », serait peut-être plus judicieux… mais il est vrai que cela lui retirerait un peu de son cachet… question de priorité…
Je ferme la parenthèse « tambour », et reprend mon récit du conseil… Le conseil s’attaque à présent aux tarifs de la cantine scolaire, et annonce une hausse générale. La cuisine centrale suscite de nombreux questionnements… son déficit n’aurait de cesse de s’accroître, son entretien coûte cher, ses prix semblent déranger certains clients qui envisageraient de solliciter les services d’une autre entreprise…
Je me permets d’omettre quelques points, un compte-rendu détaillé étant disponible sur le site de la mairie, car à évoquer les 17 points, je crains quelques endormissements devant les écrans…
Je vous amène ainsi directement au point relatif aux indemnités des élus. Vous allez me dire que cela avait déjà été traité lors du conseil du 26 mars, date à laquelle l’augmentation de ces dernières avait été votée… et je vous répondrais que vous êtes des citoyens zélés, car c’est exact ! Seulement voilà, l’augmentation n’a été attribuée qu’à compter du 26, ce qui signifie que les quelques 10 jours allant de leur investiture à cette date ont été « payés » sur la base de l’ancien montant, d’où une demande de compensation…
Que dire ? Bien que cela ne représente pas une somme astronomique, n’est ce pas un tantinet déplacé ? A l’heure où l’on crie haut et fort qu’il n’y a pas d’argent, que le théâtre coûte cher… Et puis je pense plus particulièrement ici aux saisonniers des vestiaires de la piscine (dont la « rénovation » a émerveillé la DDASS), payés sur la base du smic horaire, sans minimum garanti en cas de fermeture prolongée de la piscine, lors d’aléas divers…
J’espère que pour certains l’investissement politique n’est pas seulement affaire d’argent…
Je vous laisse seuls juges…
Après plus de deux heures le conseil touche à sa fin… Le maire déclara : « l’ordre du jour est épuisé » et un « et nous aussi » sortit de l’assistance… cette petite réflexion m’amuse encore, c’est pourquoi je vous la fais partager !
Quelques renseignements nous sont communiqués, concernant l’abandon, effectif, de l’artésium, le repas des anciens, décalé aux vacances de la Toussaint et enfin, le festival de Théâtre.
L’Office de Tourisme en a repris le flambeau et je me réjouis malgré tout de le voir vivre !
J’entends beaucoup de choses se dire à son sujet, laissez moi le temps de vérifier la véracité des informations pour vous les restituer…
Néanmoins, je peux vous dire qu’il aura lieu du 2 au 9 août, comportera 4 représentations, dans trois lieux : le domaine de Beauvois, le château de la Plaine à Fondettes et le château de Chatigny.

Retrouvez toutes les informations ici : Site de l'Office de Tourisme

Nombreuses sont les questions qui me taraudent quant à ce que sont devenus le Prieuré St-Venant et la place de l’Alma par exemple… Pourquoi Luynes n’a plus de site d’accueil ? Espérons que l’année à venir sera de meilleur augure pour ce festival tant apprécié !
Le conseil pris fin avec en guise de clôture un pot de l’amitié (oui on aime ça à Luynes) en l’honneur de Monsieur Maillet dont ce conseil fut le dernier en tant que Directeur Général des Services.

La soirée se poursuivît pour certains à la boule de fort où je fus gentiment conviée… Merci pour le verre et pour la conversation !

Bien à vous !