Je m’interroge sur les intentions de Ségolène Royal, sur ses agissements et leurs conséquences.
S’il n’est plus à démontrer que notre président de
Je ne sais ce qui la motive, ni même ce qu’elle espère retirer de son comportement (si ce n’est faire parler d’elle), car pour ce qui est de sa propre image, elle se ternit, entrainant sur cette pente celle du parti socialiste. Certains de ses membres se confondent en excuses pour rattraper les divagations de leur ex-candidate aux présidentielles et doivent répliquer aux attaques d’une droite que la contrariété rend désobligeante.
Non contente de ne pas avoir été élue présidente de
Investie de cette nouvelle mission sacrée, elle parcourt le monde sur les traces de Nicolas Sarkozy et tente de rectifier les bourdes (avérées, probables ou supposées) de ce dernier.
Celle qui fascina une partie de
Ce qui m’inquiète, ce sont les retombées sur le PS, déjà fragilisé en termes d’image et de notoriété par ses querelles internes et ses défaites aux présidentielles, ce dernier n’a nullement besoin des « gaucheries » d’un messie qui se révèle plus préjudiciable que providentiel.
A l’heure où des jeunes se mobilisent pour que les élections européennes occupent le devant de la scène politique et que les Français s’y impliquent, il serait dommage que de telles chamailleries viennent compromettre leur effort et leur combat pour une Europe Citoyenne et à gauche !
N’amalgamons pas les maladresses de Ségolène Royal avec le travail réel de tout un parti !
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